جمال عبد القادر الجلاصي
16/06/2007, 11:34 AM
Quelle Palestine, ma maîtresse
Abd essalam Al Attari / Palestine
Trduction : jamel jlassi / Tunisie
L’olivier est le témoin unique, pour les prairies fuyantes… pour la patrie égarée entre les visages qui se ressembles, il crie : qui es tu ? et il s’étonne en entendant une réponse arabe… il tourne le visage et crie encore : qui es tu ? je connais ce dialecte…je le répète il se répète à chaque fois que l’aube poignarde le dernier souffle de la nuit… la lettre Adhdhad tombe… le sang émerge et s’éparpille sur les crosses des fusils comme des plaies sur les trottoirs pleines des larmes des écoliers… sur la crosse d’un cahier dont les lettres s’éparpillent en criant…qui me tire / pour me faire recouler ? Moi, l’enfant au rêve nu dénudé, et la première tire résonne dans ma petite conscience, en enfonçant sa peur sur tous mes chemins… je ne vois que des fantômes et des masques… et je demande. Qui étés vous ? une voix étouffée par la lâcheté… tais toi… tais toi… touts les histoire se poussent autour du Fidaï aux forts muscles bronzés … un poète au cœur de la nuit… cherchant notre liberté… est ce que vous étés vraiment vous ?... il se demande… la mélodie de ta fusil é changé de rythme… il était trop enthousiaste avec ( Abu Al Arab) il chantait à vous … à nous…à la terre… à la mer…au sable… au brasero du feu…à ma grand-mère… peut-être le rythme de la mélodie a vraiment changé… nous sommes à l’ère des changements…mais ma grand-mère m’a dit : tout peut changer sauf lui…et les normes et les bonnes mœurs …je ne sais plus…ma grand-mère est morte avant le pain du mondialisation, et avant de savoir que tout peut changer même nous, et avant que nous nions la différence entre la langue Arabe et les autres langues, et avant que les enfant déchirent leurs pantalons pour suivre la mode, et notre voisin le file du mendiant était leur chef… la maîtresse me demande les frontières de Palestine… je recule jusqu’au zéro…je ne sais pas…quelle Palestine voulez vous ma maîtresse ? Où est elle ? Je connaissais ce nom… je connaissais une jeune fille me court derrière lorsque je vole sa poupée… elle se fâchait… quelle est la différence entre se fâcher sous le tchador et se fâcher en public ? se demande un enfant misérable qui n’a rien trouvé pour manger… laisse le comblé par l’inquiétude et fuis vers une chanson… je me demande, qui joue un air sur la langue ? Qui peut lever la main sans être percer par une cartouche anonyme !
Hé vous qui étés parsemés comme des sauterelles ne mangeant que notre récolte… ne détériorent que nos champs… ne tuent que nos arbres … filez vers les bas-fonds des enfers et reculez vers votre mort…que la mort soit votre sort… laissez nous mourir sans les cartouche d’un bandit suceur du sang / du vengeance, ou devant des barreaux qui persistent encor dans nos rues, et prés du cimetières des martyres,et dans chaque passant vers nos villages attelant les hauts du silence et les regards du stupéfaction,et la déglutition du feu… comment tu brûle le feu avec du feu connard !!! Quand la tête se masque par un crâne qui ne connaît pas sa destination, et ne fait pas la différence entre un baiser et une piqûre ou un cri de détresse.
Assez, Hé assassin !!! Hier le ciel coassait par des éclats hexagones qui nous visent…
Hier un marteau martelait les toits… les fracasse pour déraciner un cep de vigne au cour de la maison, et les nouvelles : des femmes et des enfant victimes des vignes proches, approchez de nous, pour que Palestine se rapproche de vous encor une fois…
Ramallah / Palestine
Abd essalam Al Attari / Palestine
Trduction : jamel jlassi / Tunisie
L’olivier est le témoin unique, pour les prairies fuyantes… pour la patrie égarée entre les visages qui se ressembles, il crie : qui es tu ? et il s’étonne en entendant une réponse arabe… il tourne le visage et crie encore : qui es tu ? je connais ce dialecte…je le répète il se répète à chaque fois que l’aube poignarde le dernier souffle de la nuit… la lettre Adhdhad tombe… le sang émerge et s’éparpille sur les crosses des fusils comme des plaies sur les trottoirs pleines des larmes des écoliers… sur la crosse d’un cahier dont les lettres s’éparpillent en criant…qui me tire / pour me faire recouler ? Moi, l’enfant au rêve nu dénudé, et la première tire résonne dans ma petite conscience, en enfonçant sa peur sur tous mes chemins… je ne vois que des fantômes et des masques… et je demande. Qui étés vous ? une voix étouffée par la lâcheté… tais toi… tais toi… touts les histoire se poussent autour du Fidaï aux forts muscles bronzés … un poète au cœur de la nuit… cherchant notre liberté… est ce que vous étés vraiment vous ?... il se demande… la mélodie de ta fusil é changé de rythme… il était trop enthousiaste avec ( Abu Al Arab) il chantait à vous … à nous…à la terre… à la mer…au sable… au brasero du feu…à ma grand-mère… peut-être le rythme de la mélodie a vraiment changé… nous sommes à l’ère des changements…mais ma grand-mère m’a dit : tout peut changer sauf lui…et les normes et les bonnes mœurs …je ne sais plus…ma grand-mère est morte avant le pain du mondialisation, et avant de savoir que tout peut changer même nous, et avant que nous nions la différence entre la langue Arabe et les autres langues, et avant que les enfant déchirent leurs pantalons pour suivre la mode, et notre voisin le file du mendiant était leur chef… la maîtresse me demande les frontières de Palestine… je recule jusqu’au zéro…je ne sais pas…quelle Palestine voulez vous ma maîtresse ? Où est elle ? Je connaissais ce nom… je connaissais une jeune fille me court derrière lorsque je vole sa poupée… elle se fâchait… quelle est la différence entre se fâcher sous le tchador et se fâcher en public ? se demande un enfant misérable qui n’a rien trouvé pour manger… laisse le comblé par l’inquiétude et fuis vers une chanson… je me demande, qui joue un air sur la langue ? Qui peut lever la main sans être percer par une cartouche anonyme !
Hé vous qui étés parsemés comme des sauterelles ne mangeant que notre récolte… ne détériorent que nos champs… ne tuent que nos arbres … filez vers les bas-fonds des enfers et reculez vers votre mort…que la mort soit votre sort… laissez nous mourir sans les cartouche d’un bandit suceur du sang / du vengeance, ou devant des barreaux qui persistent encor dans nos rues, et prés du cimetières des martyres,et dans chaque passant vers nos villages attelant les hauts du silence et les regards du stupéfaction,et la déglutition du feu… comment tu brûle le feu avec du feu connard !!! Quand la tête se masque par un crâne qui ne connaît pas sa destination, et ne fait pas la différence entre un baiser et une piqûre ou un cri de détresse.
Assez, Hé assassin !!! Hier le ciel coassait par des éclats hexagones qui nous visent…
Hier un marteau martelait les toits… les fracasse pour déraciner un cep de vigne au cour de la maison, et les nouvelles : des femmes et des enfant victimes des vignes proches, approchez de nous, pour que Palestine se rapproche de vous encor une fois…
Ramallah / Palestine