جمال عبد القادر الجلاصي
17/11/2007, 12:57 PM
Le trône de Balkis
Malika Al Assal / Maroc
Traduction : jamel jlassi / Tunisie
Tu t’éclipses au bar, et après quelques mots précis qui perdent leurs virginités sous le microscope, ; tu as pris ta dose des bouteilles de vins, et te as acheter ces accessoires, puis tu as conduits la camionnette de ton patron, avec ta copine, vers le lieu où t’attendent tes camarades… ce lieu habitué à tes venus et celles de tes compagnons pour vider dans ses bouches des handicapes vider par la laideur du temps d’un seul trait, et ils se sont entassés sous les cotes… pliant ou couvrant des vieilles blessures presque innées, collées sur ton dos comme un héritage défendu, et elles persistent à creuser par des pelles le foie qui coule des larmes salées qui grattent ton espace, et noircirent ta destinée, pour que le début fonde avec la fin , et enfin te publie une histoire fermée dans une route encombrée par des labyrinthes… vous avez utilisez les pierres comme des chaises ; les yeux se regardent écarquillés, les métaphores des l’attente se succèdent, et une furie d’impatience fait trembler les doigts de l’envies de palper la bouteille, en l’ouvrant la poursuite des fantômes du temps est reprise, et l’implantation du tronc merveilleux dans son cadavre, en l’ouvrant on creuse le destin pour enterrer les longs charges,pour faire tomber du de dos les jougs. Le rêve s’infiltre dans la mousse du parole, pour tromper les lèvres sèches, et vide sa rougeur dans les gorges pales, pour que sa tiédeur coule parmi les veines et les pores, pour verser sa fraîcheur sur les plaies brûlantes afin d’éteindre ses flammes… le verre flotte une deuxième fois, il ajoute une nouvelle recharge, le cerveau s’électrise, les oiseaux de l’ivresse te prennent en vol, tu dépasses les bornes étendues, et la pierre devient la trône de Balkis, et l’étang la piscine de Cléopâtre, et le Sahara un oasis de palmiers, et le corbeau un canari, et toi le roi de l’univers, tu t’assoie élégamment, et tu traînes ton corps sur les rythmes de l’arc-en-ciel ;qui te dindonne dans des lieux lointains … les flambeaux du désir s’illuminent, pour un manque quelconque, et de tes hauts pende une masse anonyme, se balançant parmi les épis éoliens, tu veux mais tu ne sais pas ce que tu veux, ou bien tu veux et tu ne veux pas en même temps…
Une force géante coule dans ton corps et qui peut démolir le monde en une seconde comme la force du « Hilk » ou plus, tu est envahi par un désir étrange d’effacer cette fausse destinée par un seul trait, et de couper ses liens pourris, et épuisants, et de construire une tour énorme bien meublée, pour vivre aisément, dans un espace saint… te es devenu un prophète à cette instant là guidé par la vérité, c’est comme ça tu as vu les choses, lorsque tu ne faisais pas la différence entre le vrai et la faux !
Apres un moment tu t’éclipse vers la camionnette sous les yeux fermés de la nuit, tes camarades se raffolant des brises du vent, et dégustant le lait de l’ivresse goutte à goutte, insouciants, planant dans une ivresse sacrée interminable…
Elle fonce dans les ténèbres pour les engloutir en une seule bouchée… un seul appel de détresse déchire le silence pour sauver leurs peaux…
Un moment et les policiers te font descendre menotté ; et la fille ensevelie dans ses linceuls rouges buvant le dernier gorger… !
Malika Al Assal / Maroc
Traduction : jamel jlassi / Tunisie
Tu t’éclipses au bar, et après quelques mots précis qui perdent leurs virginités sous le microscope, ; tu as pris ta dose des bouteilles de vins, et te as acheter ces accessoires, puis tu as conduits la camionnette de ton patron, avec ta copine, vers le lieu où t’attendent tes camarades… ce lieu habitué à tes venus et celles de tes compagnons pour vider dans ses bouches des handicapes vider par la laideur du temps d’un seul trait, et ils se sont entassés sous les cotes… pliant ou couvrant des vieilles blessures presque innées, collées sur ton dos comme un héritage défendu, et elles persistent à creuser par des pelles le foie qui coule des larmes salées qui grattent ton espace, et noircirent ta destinée, pour que le début fonde avec la fin , et enfin te publie une histoire fermée dans une route encombrée par des labyrinthes… vous avez utilisez les pierres comme des chaises ; les yeux se regardent écarquillés, les métaphores des l’attente se succèdent, et une furie d’impatience fait trembler les doigts de l’envies de palper la bouteille, en l’ouvrant la poursuite des fantômes du temps est reprise, et l’implantation du tronc merveilleux dans son cadavre, en l’ouvrant on creuse le destin pour enterrer les longs charges,pour faire tomber du de dos les jougs. Le rêve s’infiltre dans la mousse du parole, pour tromper les lèvres sèches, et vide sa rougeur dans les gorges pales, pour que sa tiédeur coule parmi les veines et les pores, pour verser sa fraîcheur sur les plaies brûlantes afin d’éteindre ses flammes… le verre flotte une deuxième fois, il ajoute une nouvelle recharge, le cerveau s’électrise, les oiseaux de l’ivresse te prennent en vol, tu dépasses les bornes étendues, et la pierre devient la trône de Balkis, et l’étang la piscine de Cléopâtre, et le Sahara un oasis de palmiers, et le corbeau un canari, et toi le roi de l’univers, tu t’assoie élégamment, et tu traînes ton corps sur les rythmes de l’arc-en-ciel ;qui te dindonne dans des lieux lointains … les flambeaux du désir s’illuminent, pour un manque quelconque, et de tes hauts pende une masse anonyme, se balançant parmi les épis éoliens, tu veux mais tu ne sais pas ce que tu veux, ou bien tu veux et tu ne veux pas en même temps…
Une force géante coule dans ton corps et qui peut démolir le monde en une seconde comme la force du « Hilk » ou plus, tu est envahi par un désir étrange d’effacer cette fausse destinée par un seul trait, et de couper ses liens pourris, et épuisants, et de construire une tour énorme bien meublée, pour vivre aisément, dans un espace saint… te es devenu un prophète à cette instant là guidé par la vérité, c’est comme ça tu as vu les choses, lorsque tu ne faisais pas la différence entre le vrai et la faux !
Apres un moment tu t’éclipse vers la camionnette sous les yeux fermés de la nuit, tes camarades se raffolant des brises du vent, et dégustant le lait de l’ivresse goutte à goutte, insouciants, planant dans une ivresse sacrée interminable…
Elle fonce dans les ténèbres pour les engloutir en une seule bouchée… un seul appel de détresse déchire le silence pour sauver leurs peaux…
Un moment et les policiers te font descendre menotté ; et la fille ensevelie dans ses linceuls rouges buvant le dernier gorger… !