ÓÚíÏ äæíÖí
09/10/2008, 08:09 PM
...Une plume
On ouvrant le livre de la journée
Je me trouve enfermé
Dans une page de la vie
Plutôt accrochait à une lettre
...Peut-être une syllabe, ou une consonne
Une plume constitue un moment de joie
De tristesse qui arrange ses rêves
Sur un livre Sacré
Que je représente maladroitement
...Sous un ciel généreux, une terre riche
...Sous un langage des sages
Un savoir qui partage le sacré
Avec l’obscur de l’inconnu
Le froid du signifiant qui règne
...Sous la chaleur du quotidien
L'air qui vous range
L’existence avec la sueur du malheur
Le bras si long qu'il veut
Si court qu'il peut
...Se renferme dans une poche en touchant sa misère
Le bon souffle d'une idée n’est rien pour toi
Si tu ne sens la vie
Que sous la chaleur d'un compte
Si tu ne reconnais pas la paix
...Comme message divin
?Trouves tu le bonheur
Dans le chant d'une fleur
Quand le vent passe à coté
Dans le parfum d'un oiseau
...Quand il survole avec liberté
Sur les miroirs de tes semblables
Si tu n’écoutes pas les murmures
De leurs idées, de leurs souffrances
La mort qui s’endorme au fond de toi
...Tes sens sensoriels sont finis
La mort t’attend dans un petit coin de la terre
Pour se manifester comme un rêve
Qu’enfuie à tout moment
Comme pour les réclamations des pauvres
...Sur les portails de la civilisation
L'amour pour une vie simple
Ne se trouve pas aux bidonvilles
Ni dans des grades ciels
Mais dans un climats de clarté
...Et un autre de dignité
De la tendresse aux idées pauvres
De la vie pour les rêves des pauvres
Les rêves qui vivent et meurent
Dans le silence
...Dans la nuits des pleins jours
D’où l’ancre représente
La joie des traces des passants
Les souffrances entassées
Dans le passé lointain et proche
...Formule notre blessure,et votre honte
O monde des sourds muets
Dans ce passage de l’aire moderne
L'histoire racontera notre sourire
Sous les armes cruelles de la civilisation
...Sous l'ignorance d'une science sans âme
Said Nouidei … 22/09/2008
On ouvrant le livre de la journée
Je me trouve enfermé
Dans une page de la vie
Plutôt accrochait à une lettre
...Peut-être une syllabe, ou une consonne
Une plume constitue un moment de joie
De tristesse qui arrange ses rêves
Sur un livre Sacré
Que je représente maladroitement
...Sous un ciel généreux, une terre riche
...Sous un langage des sages
Un savoir qui partage le sacré
Avec l’obscur de l’inconnu
Le froid du signifiant qui règne
...Sous la chaleur du quotidien
L'air qui vous range
L’existence avec la sueur du malheur
Le bras si long qu'il veut
Si court qu'il peut
...Se renferme dans une poche en touchant sa misère
Le bon souffle d'une idée n’est rien pour toi
Si tu ne sens la vie
Que sous la chaleur d'un compte
Si tu ne reconnais pas la paix
...Comme message divin
?Trouves tu le bonheur
Dans le chant d'une fleur
Quand le vent passe à coté
Dans le parfum d'un oiseau
...Quand il survole avec liberté
Sur les miroirs de tes semblables
Si tu n’écoutes pas les murmures
De leurs idées, de leurs souffrances
La mort qui s’endorme au fond de toi
...Tes sens sensoriels sont finis
La mort t’attend dans un petit coin de la terre
Pour se manifester comme un rêve
Qu’enfuie à tout moment
Comme pour les réclamations des pauvres
...Sur les portails de la civilisation
L'amour pour une vie simple
Ne se trouve pas aux bidonvilles
Ni dans des grades ciels
Mais dans un climats de clarté
...Et un autre de dignité
De la tendresse aux idées pauvres
De la vie pour les rêves des pauvres
Les rêves qui vivent et meurent
Dans le silence
...Dans la nuits des pleins jours
D’où l’ancre représente
La joie des traces des passants
Les souffrances entassées
Dans le passé lointain et proche
...Formule notre blessure,et votre honte
O monde des sourds muets
Dans ce passage de l’aire moderne
L'histoire racontera notre sourire
Sous les armes cruelles de la civilisation
...Sous l'ignorance d'une science sans âme
Said Nouidei … 22/09/2008