صراح بوشارب
12/06/2009, 10:29 PM
Charte de devoirs professionnels des journalistes français
Un journaliste digne de ce nom prend la responsabilité de tous ses écrits, même anonymes :
- tient la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge, pour le plus graves fautes professionnelles ;
- ne reconnaît que la juridiction de ses pairs, souveraine en matière d’honneur professionnel ;
- n’accepte sue des missions compatible avec la dignité professionnelle ;
- s »interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaire, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque ;
- ne touche pas d’argent dans un service public ou une entreprise privée où sa qualité de journaliste, ses influences, ses relations, seraient susceptibles d’être exploités ;
- ne signe pas de son nom des articles de réclame commerciale ou financière ;
- ne commet aucun plagiat, cite les confrères dont ils reproduit un texte quelconque ;
- ne sollicite pas la place d’un confrère, ni ne provoque son renvoi en offrant de travailler à des conditions inférieures,
- garde le secret professionnel ;
- n’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
- revendique la liberté de publier honnêtement ses informations ;
- tient le scrupule et le souci de la justice pour de règles premières ;
- ne confond pas son rôle avec celui du policier.
Un journaliste digne de ce nom prend la responsabilité de tous ses écrits, même anonymes :
- tient la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge, pour le plus graves fautes professionnelles ;
- ne reconnaît que la juridiction de ses pairs, souveraine en matière d’honneur professionnel ;
- n’accepte sue des missions compatible avec la dignité professionnelle ;
- s »interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaire, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque ;
- ne touche pas d’argent dans un service public ou une entreprise privée où sa qualité de journaliste, ses influences, ses relations, seraient susceptibles d’être exploités ;
- ne signe pas de son nom des articles de réclame commerciale ou financière ;
- ne commet aucun plagiat, cite les confrères dont ils reproduit un texte quelconque ;
- ne sollicite pas la place d’un confrère, ni ne provoque son renvoi en offrant de travailler à des conditions inférieures,
- garde le secret professionnel ;
- n’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
- revendique la liberté de publier honnêtement ses informations ;
- tient le scrupule et le souci de la justice pour de règles premières ;
- ne confond pas son rôle avec celui du policier.