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ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : Le débat sur la laïcité



ÑÔíÏ ÓÇÍáì
05/04/2011, 05:10 PM
Depuis leur naissance les religions essaient toujours de dépasser les limites de leurs missions spirituelles et lorgnent sur le pouvoir. On sent de plus en plus de tension, en France et ailleurs dans les milieux religieux. Ceux-ci ont toujours autant de mal à maîtriser leurs extrémistes et ils nous ont déjà prouvé par le passé qu’il ne font pas toujours dans la dentelle. Comment une telle marginalité peut créer un tel barouf sociétal ? Je ne peux me l’expliquer que si je me convaincs, que désigner un bouc émissaire est le, réflexe facile d’une société immobile et fermée, faisant fi des vraies causes de nos problèmes présents. Avec ce débat sur la laïcité nous ne voulons travailler que la goutte d’eau et sur le reste du liquide qui remplit le récipient, …Quand une personne dit, au musulman que je suis, qu’elle est de confession catholique, mes premières pensées vont vers les valeurs humanistes universelles de cette religion, portées par des millions de croyants et par des personnages comme l’Abée Pierre, Mère Teresa, Sœur Emmanuelle…La réciprocité devrait être la règle commune et de bons sens
Les gens qui ont décidé de lancer un débat démocratique sur la laïcité et notamment, bien définir ou se situent les frontières de celle-ci, sont des gens responsables. Par les temps qui courent, ce débat sur la laïcité n’est pas nécessaire. Certes, la prière dans la rue constitue une gêne, Mais ce n’est pas insoluble. Et rien ne justifie la mobilisation du gouvernement. On ne va pas en plus se lancer dans un débat où les véritables problèmes sont occultés, c’est-à-dire : Le chômage, l’éducation, la santé, l’insécurité


Vouloir lancer un débat sur ces problèmes, c’est bien, On discute des solutions alternatives c’est mieux

http://issamabdel.unblog.fr/

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/laicite-l-ump-veut-clore-le-debat-avec-26-propositions_979506.html?idcommentaire=544938

http://plus.lefigaro.fr/page/issam-abdel/commentaires


 

äÌíÈ ÈäÔÑíÝÉ
09/04/2011, 01:31 PM
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cher frère Rachid
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Définition de la précarité
Etymologie : du latin precarius, qui s'obtient par la prière.
La précarité est l'état de ce qui est précaire, c'est-à-dire qui n'offre aucune garantie de durée, qui est incertain, sans base assurée, révocable.
Dans le domaine économique et social, la précarité est l'absence des conditions et des sécurités permettant à une personne, à une famille, à un groupe, d'assumer pleinement leurs responsabilités et de bénéficier de leurs droits fondamentaux.
La précarité est caractérisée par une forte incertitude sur la possibilité de pouvoir retrouver dans un avenir proche la situation qui est considérée comme "acceptable". Elle est donc une notion subjective et relative car elle se définit par rapport à une situation "acceptable" et au sein d'une société donnée. Le degré de perception de la précarité est, en outre, influencé par de nombreux facteurs culturels.
En France, un arrêté de 1992 a défini cinq catégories de personnes en situation de précarité :
* chômeurs,
* bénéficiaires du RMI,
* titulaires d'un contrat emploi solidarité,
* personnes sans domicile fixe,
* jeunes âgés de 16 à 25 ans exclus du milieu scolaire et engagés dans un processus d'insertion professionnelle.
Certains groupes sociaux peuvent plus facilement se retrouver en situation de précarité que d'autres, comme les personnes inexpérimentées ou sans formation, par exemple. Si la précarité tend à se prolonger et devient persistante, elle conduit le plus souvent à la grande pauvreté, surtout lorsqu'elle affecte plusieurs domaines de l'existence.
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Mes amitiés
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ÑÔíÏ ÓÇÍáì
09/04/2011, 09:53 PM
ÔßÑÇ ÇÎì ÇáÍÈíÈ äÌíÈ Úáì ÇáãÑæÑ ÇáØíÈ

ãÍãÏ Úáí ÇáåÇäí
09/04/2011, 10:04 PM
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